Travailler un contenu sur les réseaux sociaux demande du temps et de l’inspiration. Et les utilisateurs sont certainement frustrés d’une chose: il est impossible, sauf d’y passer ses journées, d’être présent sur l’ensemble des plateformes. Mais fort heureusement pour nous, il existe différentes techniques qui permettent de publier sur plusieurs plateformes en optimisant son temps.
L’un des plus grands secrets pour y parvenir tient en un mot. Il s’agit de la technique du recyclage. Lorsque l’on est spécialiste d’un sujet, on prend le temps de se documenter, de récolter des chiffres ou bien de lire énormément. L’objectif est de se nourrir, mais également de pouvoir partager des informations pertinentes à sa communauté. Alors quand on a travaillé un visuel ou un texte, on a envie de le dupliquer sur plusieurs réseaux sociaux. L’idée n’est pas de faire de simples copié-collé, mais de l’adapter suivant l’application où l’on souhaite s’exprimer.
Aux États-Unis, de nombreux créateurs B2B prennent la parole sur LinkedIn et sur X en parallèle. De plus en plus, ils optimisent leur création de contenus de manière simple. Les informations publiées sur l’une des plateformes se retrouvent sur l’autre. Comment font-ils ?
Passer de X ou Threads à LinkedIn, oui, mais comment ?
Leur secret est très simple: il vous sera très facile de le reproduire à la maison. Voici trois exemples :
- Ben Meer
Le spécialiste en développement personnel reprend ses tweets sur LinkedIn, mais de manière éditoriale. Ses threads sont découpés en plusieurs parties. Chacune d’entre elles correspond à une slide. Pour le texte, Ben Meer reste très simple en écrivant simplement qu’une phrase d’accroche.
- Justin Welsh
Justin Welsh est un habitué du recyclage de contenu. Il le fait même sur LinkedIn, en republiant différemment des informations déjà mises en ligne. Selon lui, 70% de sa communauté passe à côté de ses posts, donc il ne perd rien à réécrire sur le sujet.
Son recyclage va même plus loin puisqu’il reprend certains de ses tweets sur LinkedIn. Mais contrairement à Ben Meer, Justin Welsh s’appuie sur son message pour détailler un sujet connexe sur l’autre application. Malin !
- Sahil Bloom
Comme pour Ben Meer, Sahil Bloom trouve que ces tweets n’ont pas besoin d’être complétés. Il poste généralement qu’une seule phrase pour introduire le sujet.
Ce que l’on peut en retenir, c’est qu’au niveau visuel, chacun fait la même chose. Une capture d’écran du tweet vient être intégrée dans un format plus visible sur LinkedIn.
Ça vous donne des idées pour votre stratégie ?